Ah, la sensualité, ce doux poison. Entre l’éclat des lumières de Lyon et les ombres des désirs, la réalité se mêle à l’imaginaire, comme un frisson au creux de l’épine. Les bandes sonores, telles des sirènes, guidant les âmes perdues, font vibrer les cœurs en secret. Chaque note dessine des contours à la passion, éveille des souvenirs enfouis. Quoi de plus enivrant que ce ballet délicat entre le visible et l’invisible, l’éphémère et l’éternel ?